GRENOBLE ALPES
UN TERRITOIRE INNOVANT AU CŒUR DE L’EUROPE

UN TERRITOIRE AU COEUR DE
L’UNE DES GRANDES RÉGIONS EUROPÉENNEs

Avec 8 millions d’habitants, plus de 3 millions d’emplois et une base industrielle diversifiée et performante,
Auvergne Rhône Alpes génère un PIB de 250 milliards d’euros ce qui en fait la deuxième région économique française.

Située au cœur de cette région dynamique, Grenoble Alpes contribue largement à sa richesse avec des filières d’excellence reconnues mondialement : micro nanoélectronique, logiciels, medtechs, énergie, cleantech, sport/montagne…

Grenoble Lyon France Europe

UN TERRITOIRE RÉSOLUMENT
TOURNÉ VERS L’INTERNATIONAL

Métropole à taille humaine (690 000 habitants pour la région urbaine) ouverte sur le monde, la capitale des Alpes accueille la seconde plus importante communauté anglo-saxonne de France. Proche de Turin et Genève, comptant 20 millions de consommateurs dans un rayon de 200 km et 60 millions dans un rayon de 500 km, Grenoble Alpes bénéficie d’une localisation idéale pour se développer en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique.

Chaque année la région grenobloise accueille de nouvelles sociétés françaises et internationales attirées par son écosystème de l’innovation unique en Europe. Il s’agit pour ces entreprises d‘installer leur centre de Recherche et Développement (R&D), comme l’ont fait récemment Apple, Huawei, ou encore Naver Labs Europe, leur siège européen ou de développer des capacités de production proches des grands donneurs d’ordre et centres de recherche académique qui font la richesse du territoire.

Grenoble Alpes international

TERRITOIRE À L’ESPRIT PIONNIER,
AU CARREFOUR DES SCIENCES ET DE L’INDUSTRIE

Grenoble Alpes a été le berceau de progrès scientifiques, technologiques mais aussi de nombreuses avancées sociales. Dès la fin du 19ème siècle, son essor s’est cristallisé autour de l’énergie hydroélectrique. Le potentiel universitaire et le développement industriel de Grenoble ont progressé conjointement, se nourrissant l’un de l’autre.

industrie - Grenoble industriel

Dans les années 1950, Grenoble a été l’un des pionniers de l’informatique française, ce qui lui a permis d’attirer de grands groupes européens et américains. A la même époque, la ville a fait le choix de favoriser le développement de la recherche scientifique, sous l’impulsion de deux hommes : Jean Kuntzmann, créateur du premier laboratoire de calcul, en 1951 et Louis Néel, prix Nobel de physique et instigateur du centre d’études nucléaire (actuel CEA). Industrie et science ont su évoluer, s’élargir et s’enrichir mutuellement : de l’hydraulique à l’électricité, de l’électricité à la physique, de la physique aux mathématiques, des mathématiques à l’informatique, de l’informatique aux nanotechnologies…

Territoire d’innovation mondialement reconnu, le pôle scientifique et technologique grenoblois est structuré autour d’instruments de recherche de pointe, fruits d’une coopération internationale :

x Institut Laue Langevin (centre de recherche sur les neutrons) ;
x Laboratoire Européen de Biologie Moléculaire (laboratoire de biologie moléculaire) ;
x European Synchrotron Radiation Facility  (Centre de recherche synchrotron) ;
x Institut de radioastronomie millimétrique  (Institut de radioastronomie millimétrique) ;
x Laboratoire Européen de champs magnétiques  (Laboratoire des champs magnétiques).

GRENOBLE ALPES : « VOIR PLUS LOIN »

Afin de faire rayonner Grenoble, les acteurs locaux se sont rassemblés sous une bannière commune : « Grenoble Alpes »
Une démarche collective, pour promouvoir le territoire qui s’illustre sans cesse par ses projets innovants et pionniers dans le domaine de la transition énergétique, écologique et sociale …
Vous aussi prenez part à l’attractivité du territoire Grenoble Alpes, en devenant pionnier ou partenaire de la marque !

Marque Grenoble-Alpes

L’ESPRIT PIONNIER

1788 – Vizille, berceau de la révolution française
En 1788 (un an avant la prise de la Bastille), la journée des tuiles de Grenoble et les états généraux du Dauphiné à Vizille, sont les 1er évènements annonciateurs des grands changements portés par la révolution française. Cet esprit frondeur, mais également précurseur dans l’émergence de ce que l’on appelle aujourd’hui la démocratie participative, caractérise toujours le modèle grenoblois.
19e siècle – Les arts avec Stendhal et Berlioz
L’Isère innovante dans le domaine de l’art et de la culture...
Elle a vu naître Hector Berlioz, compositeur de la célèbre symphonie fantastique, pionnier des festivals de musique et visionnaire dans l’orchestration.
Grenoble est quant à elle la ville natale de l’un des plus grands écrivains français, Stendhal, père du mouvement réaliste qui succéda au romantisme en mêlant écriture romanesque et histoire contemporaine.
1817 – Le ciment artificiel (Vicat)
Au début du 19ème siècle, Louis Vicat révolutionne le secteur de la construction en inventant le ciment. Deux siècles plus tard, Grenoble devient la première ville française à concevoir et construire un éco-quartier.
1822 – Champollion déchiffre les hiéroglyphes
En 1820, âgé d’à peine 30 ans et professeur à l'université de Grenoble, Champollion pose les bases de l’égyptologie moderne en déchiffrant le mystère de l’écriture hiéroglyphique grâce à la pierre de Rosette.
1889 – L’hydroélectricité (Aristide Bergès)
Dans la seconde partie du XIXe siècle la découverte de la Houille Blanche fera de Grenoble le pionnier de l’hydroélectricité. C’est ici qu’Aristide Bergès utilisa la puissance hydraulique des chutes d’eau pour la première fois pour les besoins de l'industrie (afin de faire fonctionner les machines des papeteries de Lancey)
1907- Les premiers skis (ROSSIGNOL)
Les premiers skis en bois au monde sont fabriqués à Voiron par le menuisier Abel Rossignol qui fonde la même année l’entreprise Rossignol.
En 1941 il dépose le brevet du «ski olympique contre-collé», jetant les bases de la fabrication des skis modernes.
1944 – Grenoble reçoit la croix de la Libération par le général de Gaulle
Durant la seconde guerre mondiale, les maquis du Vercors et de l’Oisans auront été des hauts lieux de la résistance à l’occupation.
Il en est de même pour la ville de Grenoble qui fait partie des 5 villes françaises décorée de l'Ordre de la Libération par le général de Gaulle le 4 mai 1944.
1947 – Le transport par câble (Pomagalski)
Avec le développement du ski alpin en Grenoble Alpes, Jean Pomagalski entrevoit le potentiel des remonte-pentes et construit dès les années 30 le 1er téléski à perches artisanal à l'Alpe d'Huez. En 1947 la société POMA est créée et deviendra un leader mondial du transport par câble.
1951 – 1er centre de calcul sur l’informatique en France
Jean Kuntzmann, professeur à l’Université de Grenoble, crée le premier centre de calcul et les premiers enseignements, en France, de cette nouvelle discipline scientifique : l’informatique. Considéré par beaucoup comme le berceau de l’informatique française (CapGemini est né à Grenoble en 1967), Grenoble Alpes reste un centre d’excellence mondial dans ce domaine, hébergeant l’un des 4 instituts multidisciplinaires français en Intelligence Artificielle.
1968 – Grenoble ville Hôte des J.O.
Grenoble est la deuxième ville française à accueillir les Jeux olympiques d'hiver après Chamonix en 1924.
Cet évènement transformera la ville, à tel point que Grenoble fut qualifiée de "première ville française du XXIe siècle" par l'hebdomadaire Paris-Match de février 1968.
1970 – Louis Néel, Prix Nobel de physique
A l’issue de la seconde guerre mondiale et à l’initiative de scientifiques de génie tel que le prix Nobel de physique Louis Néel, le pôle scientifique grenoblois se structure autour de grands instruments au rayonnement international (dont l’implantation du Synchrotron européen en 1989). Il développe ainsi des compétences de haut niveau en recherche fondamentale, physique, matériaux ou encore nucléaire, etc...
Au milieu des années 60, anticipant la fin des activités nucléaires du site, les chercheurs et physiciens grenoblois se lancent dans le secteur émergent de l’électronique. En 1965, le groupe « électronique intégré » sort son premier circuit intégré composé de dix transistors, donnant ainsi naissance à la filière microélectronique grenobloise avec la création du Léti en 1967, celle d’EFCIS (devenu depuis STMicroelectronics) en 1977, de Sofradir (Lynred aujourd’hui) en 1986 et de Soitec en 1992.
1973 – La lampe frontale (Petzl)
C'est en 1973 que Fernand PETZL met au point la première « lampe portative à éclairage auto-déportable… »
Installée dans la vallée du Grésivaudan, la société Petzl est devenue un des leaders mondiaux des équipements de protection individuelle (des équipements d'escalade et d'alpinisme....).
2006 – MINATEC, 1er pôle européen d’innovation en micro et nanotechnologies
Au début des années 2000, le CEA, déjà pionnier en recherche appliquée avec son laboratoire d'électronique et des technologies de l'information de Grenoble (LETI), crée avec Grenoble INP et le soutien de l'État et de l'ensemble des collectivités territoriales le campus MINATEC, pôle d'excellence pour les micro et nanotechnologies.
Ce modèle unique concentre sur un même pôle des établissements de formation, des laboratoires de recherche, et des activités de recherche et développement industriel (start-up, entreprises).
Après l'inauguration de MINATEC en 2006, le concept sera étendu afin de constituer un “MIT à la française” nommé GIANT et structuré autour de six grandes disciplines : les nouvelles technologies de l'énergie, les biotechnologies, les micro et nanotechnologies, les nanosciences, la caractérisation et le management de la technologie.
2007 – Le « model-checking » (Sifakis)
En 2007 le chercheur français du laboratoire Verimag de Grenoble, Joseph Sifakis, est le premier lauréat français à recevoir le prix Turing. Ce prix, considéré comme l'équivalent du prix Nobel, est la plus haute distinction en informatique. Ses travaux de recherche portent principalement sur les systèmes embarqués critiques (nucléaire et transport) avec la création d'une méthode algorithmique aux multiples applications, de l'aéronautique aux téléphones portables. (« model-checking », méthode de vérification des systèmes informatiques)
2014 – La stimulation cérébrale profonde (Benabid)
Le Pr Alim-Louis Benabid est le neurochirurgien français qui a inventé à Grenoble les techniques de la stimulation cérébrale profonde permettant notamment de limiter les tremblements pour la maladie de Parkinson. Il a reçu le prix Lasker en 2014 (équivalent américain du Prix Nobel) puis est nommé au prix de l'inventeur européen en 2016. Il est également cofondateur de Clinatec, centre de recherche biomédicale situé à Grenoble.
2019 – L’intelligence artificielle (MIAI Grenoble Alpes)
Grenoble fait partie des 4 villes française labellisées par l'état « Institut interdisciplinaire de l'intelligence artificielle ». « Le MIAI Grenoble Alpes » (Multidisciplinary Institute in Artificial Intelligence) vise à conduire des recherches au plus haut niveau en intelligence artificielle...
2022 – Grenoble, Capitale verte Européenne
Grenoble a été choisie par l’Europe pour incarner en 2022 la Capitale Verte de l'Europe des transitions.

CHIFFRES CLÉS

0
emplois dans la région grenobloise
0
entreprises à capitaux étrangers présentes en Isère
0
1ere ville française pour les trajets domicile/travail en mode doux
0
aéroports internationaux (Lyon, Genève, Grenoble)